samedi 23 janvier 2010
Rencontre EuropeEcologie/Les Verts Yvelines le 27 janvier à St-Quentin en Yvelines
Venez rencontrer l'équipe d'Europe Ecologie/Les Verts des Yvelines, les candidats, et tous les militants pour parler des thèmes de campagne, de l'organisation de la campagne et des prochains rendez-vous.
Covoiturage possible : contact : Sophie Renard : solred@wanadoo.fr sur Poissy et environs
vendredi 22 janvier 2010
mercredi 20 janvier 2010
Centre IVG de l'hôpital de Poissy menacé de fermeture
La loi relative à l'interruption volontaire de grossesse date du 17 janvier 1975.
J'ai l'âge de cette loi. J'ai eu la chance de ne pas avoir eu à me poser la question de savoir si je pouvais avoir recours à l'avortement. C'était un de mes droits fondamentaux en tant que femme tout comme celui de la contraception. Droit acquis par nos mères de haute lutte après 68.
Pour les jeunes femmes d'aujourd'hui, c'est un acquis mais un acquis très fragile :
Ca se passe en 2009 : les centres d'IVG Jean-Rostand à Ivry-sur-Seine, Tenon et Broussais à Paris ferment leurs portes.
Le centre de Poissy dans les Yvelines est à son tour menacé.
Aujourd'hui, il faut être vigilant.
On revient 35 ans en arrière en si peu de temps. On régresse si facilement !
La loi l'exige pourtant :
"Chaque centre de planification ou d'éducation familiale constitué dans les centres de protection maternelle et infantile sera doté des moyens nécessaires pour informer, conseiller et aider la femme qui demande une interruption volontaire de grossesse."
Les "moyens nécessaires" aujourd'hui ?
Il faut les optimiser : Réduire le déficit de l’hôpital. Quoi de plus efficace en terme d'économie à court terme que de réduire à néant ces moyens, une fermeture de centre et hop, disparus les moyens, circulez y'a plus rien à voir.
Le droit des femmes à disposer de leur corps, ça vous dit quelque chose ? Ce qui prime c'est la rentabilité, c'est la réduction des coûts. Après la fin des gynécologues médicaux, la fin du planning familial ?
Le centre d'orthogénie de l'hôpital de Poissy est ouvert depuis 1978 et accueille les femmes dans leurs demandes :
- D’interruption volontaire de grossesse (1500 à Poissy sur 3000 dans les Yvelines)
- De contraception
- Il assure une écoute dans le respect de la confidentialité.
Qu'importe!
RENTABILITE ils ont dit !
Les féministes ? Ca existe encore ?
OUI !
Nos mères sont là pour continuer, nous sommes là pour nous mobiliser et les hommes de plus en plus nombreux nous rejoignent.
MOBILISONS NOUS : SIGNONS LA PETITION
http://orta.dynalias.org/petition-structures-ivg/petition-ivg.clp
Pour plus d'information :
Pour la 3ème année consécutive, la Région Ile-de-France, en lien avec le Planning familial, l’ANCIC et la CADAC, lance la campagne d’information Sexualité, Contraception, Avortement : un choix, mon droit, notre liberté.
Trente-cinq ans jour pour jour après la promulgation de la loi Veil, cette large campagne sera affichée sur les murs des métros et des gares franciliennes du 18 au 31 janvier 2009.
Cette campagne est issue d’une politique initiée par le groupe Les Verts du Conseil régional, et piloté par ma délégation. La première campagne avait vu le jour en janvier 2008.
http://francinebavay.info/journal/?2010/01/18/357-3eme-edition-de-la-campagne-sexualite-contraception-avortement
IVG : Interruption Volontaire de Grossesse
ANCIC : Association Nationale des Centres d'Interruption de Grossesse et de Contraception
CADAC : Coordination des Associations pour le Droit à la Contraception et à l’Avortement
vendredi 15 janvier 2010
LA politique
mercredi 7 octobre 2009 par Sophie Renard
Dans le petit Robert : Politique : nom masculin : Litter : Personne qui gouverne, qui exerce des responsabilités politiques.
Si les femmes sont en politique, ce serait donc pour servir de faire valoir, montrer de belles plantes pour faire joli dans les réunions, poser des potiches dans les gouvernements ? On les appelle par leur prénom, on critique leur tenue vestimentaire, on les trouve belles ou moches c’est selon.
Pour les Verts pourtant, ce n’est pas ce que j’ai pu observer en les suivant depuis 1984. C’est féminin à moitié (50 % ni plus ni moins). Et pour Europe Ecologie plus récemment, c’est la même réalité.
Dans le petit Robert : Politique : nom masculin : Litter : Personne qui gouverne, qui exerce des responsabilités politiques.
Si les femmes sont en politique, ce serait donc pour servir de faire valoir, montrer de belles plantes pour faire joli dans les réunions, poser des potiches dans les gouvernements ? On les appelle par leur prénom, on critique leur tenue vestimentaire, on les trouve belles ou moches c’est selon.
Pour les Verts pourtant, ce n’est pas ce que j’ai pu observer en les suivant depuis 1984. C’est féminin à moitié (50 % ni plus ni moins). Et pour Europe Ecologie plus récemment, c’est la même réalité.
Agriculture de proximité ou intensive ? Quelle politique agricole voulons nous ?
lundi 28 septembre 2009 par Sophie Renard
L’intervention de Marc Dufumier (agronome). Plaisir le mercredi 23 septembre.
- Nous importons 70 % de nos besoins en protéines végétales.
- Nos excédents sont subventionnés à l’exportation créant une concurrence déloyale vis à vis des agriculteurs du Sud.
- Le gaz naturel de Russie nous fournit l’énergie pour la fabrication de nos engrais de synthèse.
- Nous dissocions complètement les cycles de l’azote et du carbone ; ceci provoquant d’un côté une pollution des nappes phréatiques due à la trop forte densité de l’élevage intensif, et de l’autre, l’appauvrissement et l’érosion des sols.
STOP !!!!
Choisissons une agriculture de proximité, où le maraîchage, l’élevage, la culture des céréales et des légumineuses se côtoient et où les cycles naturels des éléments Azote, Carbone, Phosphore enrichissent la Terre et nourrissent ainsi les hommes.
Nous réduirons les coûts de transport, augmenterons le rendement des terres et retrouverons le goût des aliments sains tout en recréant du lien social.
L’intervention de Marc Dufumier (agronome). Plaisir le mercredi 23 septembre.
- Nous importons 70 % de nos besoins en protéines végétales.
- Nos excédents sont subventionnés à l’exportation créant une concurrence déloyale vis à vis des agriculteurs du Sud.
- Le gaz naturel de Russie nous fournit l’énergie pour la fabrication de nos engrais de synthèse.
- Nous dissocions complètement les cycles de l’azote et du carbone ; ceci provoquant d’un côté une pollution des nappes phréatiques due à la trop forte densité de l’élevage intensif, et de l’autre, l’appauvrissement et l’érosion des sols.
STOP !!!!
Choisissons une agriculture de proximité, où le maraîchage, l’élevage, la culture des céréales et des légumineuses se côtoient et où les cycles naturels des éléments Azote, Carbone, Phosphore enrichissent la Terre et nourrissent ainsi les hommes.
Nous réduirons les coûts de transport, augmenterons le rendement des terres et retrouverons le goût des aliments sains tout en recréant du lien social.
Questions/Réponses Réunion publique du 17 septembre à Poissy
lundi 21 septembre 2009 par Sophie Renard
Plusieurs questions nous ont été posées sur l’alimentation et les circuits courts dans les environs de Poissy.
J’ai donc fait une petite synthèse des réponses à ces questions :
En terme de rejet de CO2, vaut il mieux prendre un seul gros camion qui va transporter les fraises par tonnes d’Espagne au supermarché par exemple ou utiliser une petite camionnette pour transporter les fraises du producteur d’ AMAP en Ile de France situé à 25 km des consommateurs.
J’ai trouvé une réponse faite par la mission climat de la Caisse des Dépôts datant du 10 mars 2005 : Le changement climatique par Benoît Leguet.
Extrait
1 kg de pommes du maraîcher du coin : 25 km en fourgonnette : 0,01 kg de CO2
1 kg de fraises d’Espagne : 1000-1500 km en camion : 0,2 kg de CO2 Soit une émission de CO2 multipliée par 20 !
Pour l’avion c’est encore pire : on arrive à 3,6 kg de CO2 pour 1 kg de haricots verts bio du Kenya et 5,2 kg de CO2 pour un Kg de mangues du Pérou soit 500 fois plus que le petit producteur du coin.
On est donc gagnant au niveau du bilan CO2 en privilégiant la proximité.
Un jour ma TGO viendra...
TGO : Tangentielle Ouest
mardi 15 septembre 2009 par Sophie Renard
Dans les années 80, j’allais me promener dans la plaine de Fontenay-Le Fleury en vélo. Je traversais les rails de la ligne grande ceinture avec l’espoir de revoir passer des trains-voyageurs un jour.
A chaque élection locale, on allait remettre en service la ligne ! C’était écrit dans les programmes des candidats. La vie allait changer pour ceux qui n’avaient pas encore le permis de conduire : je me voyais déjà prendre mon billet et partir pour voir un film au cinéma Roxane à Versailles.
Les années ont passé, j’ai pris le bus, fait du stop aussi quand il n’y avait plus de bus pour rentrer puis j’ai passé mon permis de conduire. Ma Peugeot 205 était synonyme de liberté, de gain de temps pour mener de front études, petits boulots et sorties entre amis.
12 décembre 2004 : ouverture de la ligne Grande Ceinture Ouest (GCO) reliant Saint-Germain Grande Ceinture à Noisy-Le-Roi. Ça me fait quelque chose. Un rêve qui se réalise enfin.... J’ai 30 ans.
Rencontre avec "Berges en dérive" sur l’Ile de la dérivation à Carrières-Sous-Poissy
Vendredi 11 septembre : Carrières-Sous-Poissy : Rendez-vous avec Guy Souville, président de l’association "Berges en dérive" et deux autres habitants de l’île. Ils sont là pour nous accueillir, nous expliquer la problématique de la détérioration des berges et nous exposer leur position concernant l’A104 et le nouveau pont d’Achères.
Rendez-vous très intéressant : La problématique complète des transports en Ile-de-France résumée et concentrée sur l’île qu’une simple passerelle d’1m20 de largeur relie à la Terre ferme !
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